Catherine Deneuve et Benoît Magimel étaient conviés dans l’émission Quotidien ce mardi 16 novembre 2021 à l’occasion de la sortie du film De son vivant le 24 novembre prochain. Durant l’entretien, l’actrice était mal à l’aise suite aux questions de Yann Barthès.
Catherine Deneuve a dû faire face à une tragédie
Catherine Deneuve a eu un AVC le 5 novembre 2019 alors qu’elle était sur le tournage du film De son vivant. Ce dernier est un long métrage qu’Emmanuelle Bercot avait réalisé. Fort heureusement, elle était dans un hôpital lors de ce drame. « Être hospitalisée en urgence, sur les lieux mêmes de son tournage, ça n’était jamais arrivé à personne. C’est absolument particulier ! », avait-elle déclaré auprès du magazine ELLE le 5 novembre dernier.
Certes, la mère de deux enfants avait pris du temps pour s’en remettre de cet AVC, mais elle va mieux aujourd’hui. « Elle va bien, elle est toujours aussi vive, elle était heureuse de tourner à nouveau. Juste après avoir terminé le film d’Emmanuelle Bercot, à l’écoute, curieuse, et avec moi, elle avait confiance. On a très bien travaillé, on s’est tous beaucoup amusés… », avait confié Eric Lartigau sur Catherine Deneuve face au Parisien en avril 2021.
Des séquelles bien visibles
Ce mardi 16 novembre dernier, Catherine Deneuve était face à Yann Barthès dans Quotidien aux côtés de Benoît Magimel. Lors de cet entretien, l’actrice avait parlé de son AVC. « Ça a été comme un coup de foudre, car c’est quelque chose qui vous frappe brutalement. […] C’est un truc violent, rapide et court. […] J’ai eu énormément de chance, ça a été un truc assez léger avec des conséquences rudes, mais assez léger », avait-elle déclaré. Cependant, il parait que Catherine Deneuve a eu des séquelles après ce petit accident.
Au début du programme, Yann Barthès avait demandé à l’actrice comment elle trouve celui qui interprète le rôle de son fils. Une question que Catherine Deneuve avait eu du mal à répondre. Toutefois, elle avait déjà préparé la réponse sur un papier. « Qu’est-ce que je dois faire ? », avait-elle balancé. « Donc je dois lire ce que j’ai dit tout à l’heure qu’on m’a dit de l’imprimer au cas où je me serais mélangée, je me serais trompée ? » avait-elle poursuivi. À première vue, prendre note lui a été finalement très utile.