De passage dans l’émission « On est en direct », Gilles Bouleau avait parlé pour la toute première fois de l’affaire PPDA. Celui qui officie sur TF1 avoue ne rien savoir sur ce scandale.
Une affaire qui explose au grand jour
Le 18 février 2021, Le Parisien avait dévoilé au grand jour qu’une enquête avait été ouverte contre Patrick Poivre d’Arvor pour vi*l. Ce fut un vrai choc pour l’ex-mari de Claire Chazal. Mais il y a des jours de cela, cette affaire a connu un nouveau tournant. Tout a basculé avec la diffusion du documentaire « PPDA : la chute d’un intouchable » un numéro de Complément d’Enquête. À l’issue de l’enquête de France 2, les témoignages désespérants sur PPDA ont choqué plus d’un. L’ancien journaliste de TF1 a sur le dos pas moins de 17 plaintes dont 8 pour vi*l.
Lors de sa venue sur France 2, Gilles Bouleau est sorti de son silence concernant l’affaire PPDA. Rappelons que le journaliste avait fait son entrée sur TF1 en 1986, soit un an avant que Patrick Poivre d’Arvor soit sacré journaliste du JT de 20 heures.
Gilles Bouleau fait des révélations sur l’affaire PPDA
Sur le plateau de « On est en direct », Léa Salamé et Laurent Ruquier ont parlé de l’affaire de PPDA avec Gilles Bouleau. L’animateur s’est questionné sur ce que ces accusations impliquent pour TF1. « Je pense que c’était il y a très longtemps. Petit deux, je pense que les protagonistes de l’époque ne sont plus là. Je crois qu’il y a plein de gens qui étaient dans la rédaction, comme moi, qui ne savais pas », avait-il déclaré.
Gilles Bouleau avoue qu’il n’y a aucun intérêt à protéger PPDA dans cette affaire. De plus, le binôme d’Anne-Claire Coudray avoue ne rien savoir sur ces accusations. « Je ne savais pas. Je n’ai aucune raison de mentir ou de cacher. Je n’ai ni animosité ni protection à apporter à PPDA : je ne savais pas », avait confié le père de deux filles.
Quoi qu’il en soit, Patrick Poivre d’Arvor est au plus mal, mais n’a encore eu droit à aucune condamnation. D’ailleurs, il décide de répliquer à toute cette affaire. Pour se faire, il a déposé plainte avec constitution de partie civile pour dénonciation calomnieuse.