Depuis le retour de sa femme, Charlène, sur le Rocher, après un isolement en Suisse pour épuisement moral et physique, le Prince Albert de Monaco parait plus heureux que jamais. Cependant, une chose l’angoisserait, il refuserait de laisser seul son épouse par peur d’une crise.
Albert de Monaco angoissé par un détail sur Charlène
Albert de Monaco est un homme épanoui ! En effet, il a été apaisé de retrouver sa femme et mère de ses jumeaux, mais aussi sa meilleure amie. Dans sa publication, le magazine Neue Post avait indiqué : « Avant son retour, seul à Monaco, il avait été repéré avec une mine triste lorsqu’il assistait aux événements. Comme s’il lui manquait quelque chose, ou plutôt, quelqu’un ». La bonne nouvelle, le souverain irait mieux depuis le retour de Charlène de Monaco. En revanche, il s’inquiète encore de la santé de celle-ci qui a souffert l’an dernier d’une « décomposition ». Cette dernière est un épisode psychotique qui peut s’accompagner de bouffées délirantes.
Durant cette crise « terrible » révélée par le magazine Voici, la princesse aurait même « blessé sa dame de compagnie ». À la suite de cet événement, Charlène de Monaco a été placée, avec son accord et celui du Prince Albert de Monaco en cure de désintoxication. Ainsi, la maman de Jacques et Gabriella serait prise en main par un psychiatre. Depuis, il irait mieux et son état se serait amélioré.
Un homme comblé
Pour sa part, le souverain monégasque espère revoir son épouse comblée et heureuse comme lors de la célébration des 10 ans de son règne. À l’occasion, Charlène de Monaco avait fait un rare discours en Français qu’elle a commencé en vouvoyant son époux, Albert de Monaco. « Monseigneur, c’est avec une joie immense que nous célébrons ce jour. Je vous félicite et prie pour que votre règne soit long et accompli et serein » a commencé la princesse. Avant de poursuivre sur une intonation plus personnelle en tutoyant le souverain.
« Plus que personne, je sais ton dévouement absolu pour la principauté, son avenir et le bien-être de sa population. Plus que personne, j’aime ton engagement pour les causes nobles que tu défends avec force. Dans tes pas, nos enfants sont à bonne école. Tu es le prince de cœur, et de mon cœur. Vive notre prince, vive Monaco » a-t-elle ainsi conclu.