Ces revenus qu’il ne faut pas déclarer aux impôts

Ces revenus qu’il ne faut pas déclarer aux impôts

Durant la déclaration des impôts, il existe des revenus qui sont exonérés. La liste des revenus à déclarer reste encore floue pour un bon nombre de contribuables. Ils ne connaissent pas quels revenus sont totalement ou partiellement exonérés d’impôt.

La liste des revenus exonérés d’impôts

Le printemps rime toujours avec la déclaration des impôts pour les Français. D’ailleurs, pour cette année, cette tâche administrative a débuté le 11 avril dernier. Pour la date limite, elle dépend de chaque département, mais aussi du choix de déclaration. Elle est différente pour la déclaration en ligne et pour ceux qui ont choisi la déclaration sur papier. Le cinquième mois de l’année reste le mois de la déclaration de revenus auprès du fisc. Une date fixe pour chaque année. Bien évidemment, il est nécessaire de faire attention à l’information à mettre dans sa déclaration. Cela peut causer une hausse de votre impôt.

En temps normal, tout le monde sait quelle information communiquer comme l’ensemble de nos revenus en tant que salarié. Toutefois, il existe des revenus qui sont exonérés d’impôts. Dans ce contexte, il y en a plusieurs comme les aides sociales. Ces dernières ne sont pas imposables à l’exemple du RSA, allocations logement, prime d’activité… Ces aides ne doivent en aucun cas être communiquées durant la déclaration des impôts. Dans la liste des revenus exonérés d’impôts, il y a aussi certaines indemnités versées par l’Assurance maladie. Cela inclut les indemnités journalières (IJSS) versées en cas d’accident du travail qui sont exonérées d’impôt, et ce à hauteur de 50 %. Il en est de même dans le cas d’une maladie professionnelle. Notant tout de même que pour des affections de longue durée, les indemnités soient là totalement exonérées d’impôt.

Un enfant qui est sous le foyer fiscal

Il semblerait bien que la liste des revenus exonérés d’impôts soit longue. Effectivement, il y a aussi les indemnités de licenciement, dans le cadre d’un plan social. Cependant, suite à un licenciement plus classique ou d’une rupture conventionnelle, il sera nécessaire de vérifier les plafonds en vigueur. De cette manière, vous seriez au courant de l’exonération partielle applicable. Sur cette liste, il y a aussi les aides versées par l’employeur. Il en sera de même pour les chèques-vacances (jusqu’à 1 747 euros), tickets-restaurants, forfait mobilité durable. Ils sont tous en partie exonérés.

Par ailleurs, si votre enfant est toujours rattaché au foyer fiscal, il y a des revenus qui sont aussi exonérés d’impôts. Cela implique les gratifications de stage. Ce dernier est exonéré dans la limite de 20 815 euros. Les salaires des étudiants de moins de 25 ans sont également, dans la limite de 5 204 euros. Les bourses sur critères sociaux sont elles aussi exonérées d’impôt sur le revenu et n’ont pas à être déclarées.