Une étude affirme qu’une prise de sang est capable de détecter le risque d’AVC chez certaines personnes. Cette maladie fait pas moins de 150 000 victimes chaque année. Ce genre de test serait donc une vraie révolution dans le monde de la médecine.
Risque d’AVC : une prise de sang pour le détecter ?
Des scientifiques de l’hôpital universitaire et de l’Université d’Uppsala (Suède) ont réussi à mettre en place un test sanguin pour cette célèbre maladie. En effet, il s’agit d’une prise de sang qui permet de détecter le risque d’AVC chez les personnes souffrant d’atriale. Ce fameux test a pour but de mesurer le niveau de neurofilament, un biomarqueur pour le bon fonctionnement du cerveau dans le sang. Ainsi, un niveau élevé de neurofilament est associé à un risque d’AVC. D’ailleurs, cette étude permet aux scientifiques d’améliorer les capacités de prévenir les risques d’AVC. Un des chercheurs affirme qu’auparavant, ils n’ont pas pu mesurer l’effet de l’atriale sur le cerveau de cette façon. De plus, le neurofilament n’est pas un biomarqueur inconnu des chercheurs. Néanmoins, ce n’est que récemment qu’ils ont su s’en servir.
Suite à cette étude, il a été prouvé qu’une prise de sang est capable de détecter le risque d’un AVC. Il y aura une étude approfondie pour mieux analyser l’impact des traitements appliqués sur les niveaux de neurofilament. De cette manière, ils peuvent déterminer si ce niveau affecte plus le risque d’accident vasculaire cérébral ou la mortalité. Une des scientifiques de l’étude précise que les résultats obtenus sont transférables à d’autres blocs de patients souffrant de problèmes cardiovasculaires. Néanmoins, il ne s’agit que d’une hypothèse et qu’il faut des études plus poussées. Par ailleurs, une autre étude menée des spécialistes de l’Université d’Alabama indique que la consommation de ce fruit d’été composé à 91 % d’eau serait bénéfique pour la santé cardiovasculaire.
Les femmes plus exposées sur certaines périodes ?
Outre la découverte de cette prise de sang qui permet de détecter le risque d’AVC, il est aussi possible de prévenir le risque cardiaque des années avant chez les femmes. Il s’agit notamment d’une étude de chercheurs américains. Pour obtenir ce résultat, les informations de santé ont été analysées. Cela inclut notamment les lipoprotéines, le cholestérol et la protéine C réactive de près de 28 000 femmes âgées en moyenne de 55 ans. Tout au long du suivi, plus de 3 600 femmes ont été victimes d’un problème cardiaque.
Une étude menée par des scientifiques de l’Université du Queensland en Australie met en avant certains symptômes. Ces derniers pourraient être le signe d’une maladie cardiovasculaire. Alors, il est recommandé à toutes les femmes en phase de préménopause et de ménopause de les contrôler. Il est aussi conseillé de consulter un professionnel de la santé en cas d’inquiétude ou de doute.