Charlène de Monaco se sent totalement impuissante pendant qu’une rivale prend place au Rocher. Alors que la princesse reste encore coincée en Afrique du Sud. Désormais, elle goute à la défaite. Depuis le mois de mars dernier, la première dame de Monaco est en exil en Afrique du Sud. Officiellement, elle ne peut pas voyager à cause de son infection de la sphère ORL.
Charlène de Monaco, détestée au sein des Grimaldi
La longue absence de Charlène de Monaco fait du bien à ses rivales surtout sa belle-sœur, Caroline de Monaco. En effet, cette dernière a pu récupérer son ancienne place de Première dame du Rocher. Une situation qui est perçue comme une défaite amère pour la femme d’Albert II. Le plus dur, c’est que la jeune femme ne peut rien faire face à cette situation vue qu’elle est encore en Afrique du Sud.
« C’est un secret de polichinelle que la sœur et la femme du Prince Albert ne s’entendent pas. Et cela, depuis l’entrée de Charlène de Monaco dans la famille princière », pouvait-on lire dans la publication. D’ailleurs, la sœur de son mari avait fait de sa vie un vrai enfer. Effectivement, c’est dû au fait que depuis l’arrivée de Charlène de Monaco elle a été reléguée à de seconds rôles. De plus, la difficulté de la princesse à s’exprimer en français, langue officielle de la principauté, n’aurait pas arrangé les choses. À première vue, l’ancienne nageuse olympique est victime d’un « mépris de classe ». De plus, son anglais est aussi loin de plaire à tout le monde.
Un message blessant de la part de sa belle-sœur
« Il n’est donc pas surprenant que la princesse Charlène doit lutter pour s’imposer au sein du clan Grimaldi. Même aujourd’hui, sa place est toujours fragile », pouvait-on lire dans un magazine allemand. En effet, grâce à cette absence, Caroline de Monaco est redevenue la représentante de la famille. De plus, elle est aussi devenue la mère de substitution aimante pour Jacques et Gabriella. D’ailleurs, la sœur du Prince Albert II avait adressé un message poignant à la princesse. « Charlène, reste où tu es, on n’a pas besoin de toi ici », lui avait-elle balancé.