Il semblerait qu’il est possible de mettre des feuilles de laurier dans les chaussures. C’est une plante qui a de nombreuses utilisations et de nombreux bienfaits.
Pourquoi mettre une feuille de laurier dans les chaussures ?
Il existe des chaussures même après lavage, ils sentent toujours mauvais. En effet, cela est dû au fait qu’ils ont été porté autant de fois possible. Par conséquent, ils ont fini par développer de mauvaises odeurs, et nous mettre dans des situations embarrassantes. Vraisemblablement, c’est une situation due à des bactéries. Ces micro-organismes raffolent de l’humidité et de la chaleur. Ainsi, ils se sentent vraiment bien au fond de vos chaussures. De plus, avec les sueurs, les chaussures deviennent un environnement humide, favorable à la prolifération des bactéries. Par la suite, ces derniers vont produite des acides organiques qui sont à l’origine des mauvaises odeurs. Cependant, pour désodoriser vos chaussures, il va falloir mettre des feuilles de lauriers dedans.
Vraisemblablement, ce sont des feuilles odorantes parfument les plats. En plus, il détient des propriétés antiseptiques. Les feuilles de lauriers sont capables de venir à bout des bactéries responsables des mauvaises odeurs. Pour cette astuce, il suffit de mettre des feuilles sèches de laurier sur la semelle de vos chaussures. Par la suite, il va falloir laisser reposer toute la nuit et les retirez le lendemain matin. La différence va tout de suite se voir. Il est possible de renouveller cette opération une fois par semaine.
Les autres usages de cette plante : dans les placards
En plus de pouvoir mettre les feuilles de laurier dans les chaussures, cette plante a aussi plusieurs utilisations. Effectivement, les mites sont loin d’être de grands fans de ces feuilles. Ainsi, pour ce faire, il faut mettre des feuilles de laurier séchées dans un petit sac en tissu, et gardez-le dans votre placard. Cette plante ne cessera jamais de vous surprendre. Notant qu’il est possible de dispersez des feuilles de laurier fraîches dans votre placard.
