Récemment, Dominique Lagrou-Sempère a fait des confidences fracassantes concernant la succession de Jean-Pierre Pernaut. La journaliste dévoile pourquoi elle n’était pas celle qui avait succédé au pape des heures.
Dominique Lagrou-Sempère mise à l’écart par TF1
Au moment où Jean-Pierre Pernaut a décidé de prendre sa retraite sur les 13 heures de TF1, sa collègue, Dominique Lagrou-Sempère, n’a pas hésité à dévoiler son souhait de lui succéder. Un souhait qui visiblement n’était pas partagé par la direction de TF1.
Le 2 mars dernier, Jean-Pierre Pernaut a tiré sa révérence à l’âge de 71 ans des suites d’un cancer des poumons. Trois semaines après sa disparition tragique, sa succession sur les 13 heures de TF1 a été exhumée. En effet, on en apprend davantage sur le sujet grâce à un article paru dans le journal Libération. Dans la publication, on pouvait apprendre que Dominique Lagrou-Sempère souhaitait assurer la succession de son acolyte, Jean-Pierre Pernaut, après son départ.
Malheureusement, le souhait de la journaliste est resté un rêve puisque la direction de TF1 a préféré miser sur Marie-Sophie Lacarrau. Une source anonyme a confié : « Thierry Tulier, le responsable de l’info de la chaîne avait l’ancienne star de France 2 dans le viseur. Aussi, c’est une prise de guerre vis-à-vis de la concurrence. Dominique n’était pas assez populaire auprès du public ».
Un véritable soutien
Cependant, même si Dominique Lagrou-Sempère ne travaille plus pour la première chaîne, elle conserve de merveilleux souvenirs de son parcours, mais aussi des moments partagés aux côtés de Jean-Pierre Pernaut. À la disparition du journaliste, elle s’est d’ailleurs rappelé qu’il était présent pour elle lors du décès de son mari, Claude Sempère. Pour rappel, ce dernier est décédé des suites d’un cancer à 55 ans.
Ainsi, le journaliste emblématique de TF1 avait assisté aux obsèques de ce dernier qui se sont tenues à Villa d’Arvay. Dominique Lagrou-Sempère se rappelle : « Il n’a pas lâché ma fille du regard alors que les larmes coulaient sur son visage. Jean-Pierre était quelqu’un de très courageux. Il m’a cependant avoué qu’il avait regretté de ne pas avoir cessé de fumer plus tôt ».
