Pour résoudre des affaires, les autorités concernées doivent se fier aux preuves. Cette fois, un selfie fait partie des preuves d’une affaire de police.
Un selfie assez particulier
Lors d’une sortie matinale, Ashley décide de se prendre en photo. Ainsi, elle a pris un selfie et le partage sur ses réseaux sociaux. Malheureusement, la jeune femme a dû faire face à quelques problèmes à cause de cette image. En effet, Ashley a eu droit à la visite de la police. Elle ne savait même pas ce qui se passait, car en très peu de temps 30 policiers fouillent sa demeure sans donner d’explication. Un officier la secoue en lui demandant où est son téléphone. Vraisemblablement, ils veulent trouver des preuves sur une affaire de double meurtre.
Il est possible de voir dans le reflet des lunettes d’Ashley le coupable. Il s’agit d’un vieil homme d’environ 60 ans. L’officier décide de conduire la jeune femme sur les lieux où elle avait pris le selfie. Mais après deux heures d’enquêtes sur les lieux, la police n’avance toujours pas. Ashley se rendait alors compte que son selfie renfermait un autre indice. Elle y voyait une maison cachée sous les feuilles. Les policiers ont alors compris que le vieillard était dans cette maison. Ils ont encerclé la maison, mais le suspect a réussi à se faufiler par une fenêtre. En entrant dans la maison, les policiers n’ont vu qu’une bouilloire qui sifflait.
Le suspect a fini par être arrêté
Ashley avait vu le suspect s’enfuir. « Il s’enfuit de ce côté-là. Derrière ces arbres ! » crie alors la jeune femme. La police s’est lancée à la poursuite de celui-ci. Après cinq minutes, l’homme a été vu dans une vieille grange et il mettait ses affaires dans une valise. Il ne croyait pas que la police allait finir par retrouver sa trace. Le suspect avait été menotté. À l’intérieur de cette grange, le garde-manger était plein d’armes. Un mois après cet évènement, Ashley avait reçu une lettre qui était lourde et portait le sceau du président. C’était une lettre venant du président lui-même « Merci pour votre grand courage et l’aide du pays », pouvait-on lire.