Il y a quelques heures, Jean-Pierre Pernaut s’est livré sur son combat contre un cancer des poumons. Effectivement, le journaliste a été placé en soins intensifs.
Le journaliste atteint d’un cancer des poumons
Le Parisien a dévoilé des extraits d’un documentaire sur Jean-Pierre Pernaut. Celui-ci sera diffusé le 9 décembre prochain sur C8. Dans cette séquence, le pape du JT a reconnu : « Pendant des années, on m’a dit “Arrête de fum*r, arrête de fum*r”. J’ai beaucoup fumé ». Aujourd’hui, Jean-Pierre Pernaut mène un combat contre un cancer des poumons, seulement deux ans après avoir combattu un cancer de prostate. Le mari de Nathalie Marquay qualifie le cancer de « petite maladie qui arrive aux personnes qui fum*nt ». Dans ce documentaire, le papa de Lou et Tom avait déclaré : « C’est la première fois que j’en parle ». D’ailleurs, il est conscient que ce type de cancer est plus grave que celui de la prostate.
Jean-Pierre Pernaut admis en soins intensifs
Le célèbre journaliste avait balancé : « Quand j’ai dit que j’avais un cancer de la prostate, les gens m’ont dit : “Ah, toi aussi ?” Et quand j’ai révélé que j’avais un cancer des poumons : Oh merde », regrette Jean-Pierre Pernaut. Par la même occasion, il a confié qu’il a arrêté de fum*r après que le diagnostic de sa maladie est tombé. Selon ses dires, il a arrêté du jour au lendemain. Cependant, il n’a pas rencontré de difficulté. Il avoue même ne s’être pas rendu compte de cet arrêt.
Il a lancé : « Je n’ai même plus fumé une cigarette depuis le 5 juillet. Je n’ai pas mis de patch. Le tab*c ne me manque pas ». D’ailleurs, il peut se réjouir, car en trois mois, il a pris trois kilos. Malgré son cancer des poumons, Jean-Pierre Pernaut n’a pas oublié son humour : « Promis, je vais faire de la gym ». Pour conclure ses propos, le mari de l’ancienne Miss France a parlé de son placement en soins intensifs et tous les détails de son opération. Il a expliqué : « On a écarté les côtes, on ouvre les poumons, on prend le lobe où il y a la tumeur, on analyse si elle a dépassé, s’il y a des métastases…».